… quarante et un ans pour être précis et toujours pas une ride. Normal lorsque l’on est un Chogokin, une de ces incroyables machines venues de l’espace faite de ce métal si spécial qui les rend quasi indestructibles. Grendizer, le robot-ovni plus connu chez nous sous le sobriquet de Goldorak, en aura fait briller des yeux de gamins.
Certes, il y aura eu ces débats sur la violence des dessins animés Japonais, mais franchement comparé aux animés hyper sexués et aberrants de connerie des années 2016, je préfère éviter le débat. Non, notre mécha n’a pas créé des générations de psychopathes enclins à la violence gratuite. C’était plutôt un bon défouloir post scolaire dans un paysage audiovisuel jusque là tapissé de poils de Pollux et autres monstres gentils.
Ce qui a rendu les Chogokins populaires depuis le fameux Mazinger, ancêtre de notre sauveur galactique, tient juste en cette particularité : une machine et un homme, son pilote. On serait passé à côté de nombreuses choses si l’on s’était contenté d’envoyer à la baston de simples automates télécommandés ou autonomes. Ce sera la coup de génie et la marque éternelle de Gō Nagai dans l’univers du manga SF.
Pour ses 40 ans, la série a été rebootée sous le nom de Grendizer Giga. On en retiendra surtout un nouveau look qui ne ravira sûrement pas tous les fans des premières heures, l’histoire restant la même. Je reviendrais plus tard sur ce remake…
Comments are closed.